Membres étudiant.es
Lamia Djemoui
Candidate au doctorat en sociologie à l’Université du Québec à Montréal, Lamia Djemoui est coordonnatrice de la Chaire ERICA. Son sujet de thèse porte sur la représentation de la sexualité féminine dans les séries télé. Elle s’intéresse, plus précisément, au thème de l’injonction à la honte comme outil de contrôle du corps féminin. Titulaire d’un Baccalauréat et de deux Maitrises en Études Britanniques, Nord-Américaines et Post-Coloniales qu’elle obtient à l’Université Sorbonne Nouvelle Paris III, Lamia a soutenu deux mémoires, qui s’intitulent : « The Myth of Gender Equality in Desperate Housewives » et « Détection et Féminisme : L’impact du 11 septembre sur les séries télévisées américaines ». Avant son doctorat, elle a obtenu un Baccalauréat en pratique et fondement en science sociale et santé, par cumul de trois certificats en criminologie, victimologie et intervention auprès des jeunes en difficulté. En collaboration avec Chiara Piazzesi (UQÀM) et Marta Boni (UdeM), Lamia a travaillé sur les représentations des pratiques de l’intime dans les trois versions sérielles de Scenes From a Marriage (1973-2021).
Félix Dusseau
Après quelques années d’étude en droit, Félix est finalement revenu à la sociologie qu’il avait étudiée au secondaire, avant d’obtenir son baccalauréat et sa maîtrise dans ce domaine à l’Université de Bordeaux (France). Actuellement doctorant en sociologie à l’UQAM, sa thèse porte sur le pluripartenariat et les formes actuelles de conjugalités et de sexualités plurielles. Félix travaille également sur les bisexualités – à propos desquelles il écrit actuellement un livre –, réalise (Re)Chercher, un podcast de vulgarisation scientifique sur la recherche étudiante et est directeur aux publications scientifiques pour l’organisme communautaire Les 3 sex*. Il s’intéresse particulièrement aux diverses formes sexuelles et amoureuses en particulier dans une optique relationnelle, de construction de soi et amicale.
Noé Klein
Noé Klein est candidat au doctorat en sociologie à l’Université du Québec à Montréal, et coordonnateur du projet MACLIC. Son mémoire de maîtrise (2019) portait sur la formation des relations amicales et amoureuses entre Québécois·es et Français·es. Dans le cadre de sa thèse, il s’intéresse à l’influence des conceptions de l’intimité sur l’utilisation des technologies de rencontre. Il a également travaillé avec Chiara Piazzesi et Hélène Belleau sur la gestion quotidienne du linge dans les couples au Québec.
Audrey Charland
Audrey Charland est candidat.e au doctorat en sociologie (concentration en Études féministes) à l’Université du Québec à Montréal. Elle s’intéresse à l’intimité entre femmes et aux représentations sociales. Son cursus académique en sexologie et sciences des religions traduit son désir de comprendre l’humain sous différents angles, dans son unicité et dans ses relations aux autres, à son environnement. Audrey est également acupuncteur.e copropriétaire d’une clinique de santé inclusive dans Hochelaga, l’une des premières initiatives en ce sens sur le territoire québécois.
Jules Pector-Lallemand
Jules Pector-Lallemand est doctorant en sociologie. Il a publié Pourboire : une sociologie de la restauration (Les éditions XYZ, 2022) et a co-fondé Siggi, le magazine de sociologie. Il se penche sur les phénomènes apparemment anodins de la vie ordinaire et privilégie le feuilleton, un genre d’écriture à la croisée des chemins entre la littérature, le reportage et la sociologie.
Mario Marotta
Mario Marotta est candidat au doctorat en sociologie à l’Université du Québec à Montréal. Il est co-président élu du Groupe de recherche de théorie sociale de la Société canadienne de sociologie (auprès de Sarah Badr). Sa thèse traite de la théorie de l’intimité de Niklas Luhmann et, plus précisément, de la notion de sémantique (chez le sociologue) comme outil de conceptualisation des phénomènes culturels et de la mémoire sociale. Avant son doctorat, il a étudié la philosophie en Italie et en Allemagne. Aujourd’hui, il s’intéresse aux champs de la théorie sociale et de l’histoire de la pensée sociale, en particulier à Max Weber et la tradition cybernétique en sociologie (Parsons, Goffman, Bourdieu, Luhmann). Il a publié une monographie qui s’intitule Max Weber : Verso una comprensione dell’uomo, et plusieurs articles, dont A Disenchanted World : Weber on Magic and Modernity.
Marilou Nantel
Titulaire d’un Baccalauréat en communication, politique et société, obtenu en 2018, Marilou Nantel est actuellement à la Maîtrise en sociologie. Son projet de mémoire traite des imaginaires amoureux chez des femmes ayant vécu de la violence conjugale. Marilou est intervenante psychosociale en violence conjugale. Elle est récipiendaire de plusieurs bourses, dont la Bourse d’excellence de la Fondation J.-A DeSève (2022).